Bibliothèques: l'ouverture dominicale à 100 euros, pas moins

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Bibliothèques : l'ouverture dominicale à 100 €, pas moins
Appel de l'intersyndicale à une réunion se tenant le 26 août prochain


Pour suivre le fil de l'actualité, l'intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, FO, UCP, UNSA et Supap-FSU revient sur l'assemblée générale qui doit se tenir le 26 août prochain, à l'auditorium de la médiathèque Marguerite Duras, au 115 de la rue de Bagnolet.

En effet, dans un communiqué diffusé fin juin, les différents syndicats annonçaient clairement leur intention de ne pas ouvrir les bibliothèques de Paris sans une augmentation de 25 € de la somme actuellement versée, soit 75 €.

Trois établissements étaient censés rester ouvert le dimanche : Marguerite Yourcenar (15è), François Truffaut (1er) et la nouvelle médiathèque Marguerite Duras (20è). « Si cette revendication n’est pas satisfaite, les trois bibliothèques seront en grève dès le dimanche 5 septembre (1er dimanche d’ouverture de la rentrée) », précisait le FSU.


Médiathèque Marguerite Duras

À l'ordre du jour de cette réunion, le montant de la prime dominicale, proposition de la Ville de Paris et préparation de la journée du dimanche 5 septembre.

Or, comble du comble, nous apprenions hier que la ville de Paris était toujours en lutte contre le préfet, qui avait rejeté le classement des zones touristiques en Périmètres d’Usage de Consommation Exceptionnelle (ou Puce). Ce qui permettrait d'une ouverture légalisée le dimanche, tout en rémunérant plus les employés.

Sauf que le préfet ne voit pas la chose de cette manière-là. Amusante coïncidence, non ?


Rédigé par Cecile Mazin, le mardi 03 août 2010 à 18h32

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A
<br /> <br /> Bertrand Delanoë, le Janus de la modernité !!! deux visages pour deux visions du travail  dominical oppossées<br /> <br /> <br /> Docteur Jekyll  quand Maire de Paris, il s 'adresse au prefet, mister Hyde quand il est dans son rôle d'employeur<br /> <br /> <br /> Comment le maire de Paris peut il vivre ce dédoublement de la personnalité.<br /> <br /> <br /> d 'un coté, vilipender le prefet qui souhaite plus d 'ouverture dominicale dans le commerce sans tenir compte de la vie privèe des employé(e)s et vouloir à toute force faire ouvrir<br /> dans les mêmes conditions de regression sociale les etablissements municipaux.<br /> <br /> <br /> Faut il lui rappeler qu' employé(e )s du privé ou du public subissent de la même façon les contraintes du travail domincial .<br /> <br /> <br /> <br />
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